Le 4 avril dernier, les membres du club journal ont eu la chance d'aller à Montrouge pour visiter la rédaction d'Okapi avec Mmes Garnault, Davos et Mme Esquerré, une journaliste qui nous assiste au club journal. Nous allons donc vous raconter avec des photos notre après-midi dans les bureaux de Bayard.
Au 18 de la rue Barbès, à Montrouge, se trouve le siège de Bayard. C’est ici que se trouvent les bureaux de la rédaction d’Okapi. C’est un très grand bâtiment où l’on trouve les rédactions de beaucoup de magazines. Nous avons été accueillis à l’entrée.
Nous avons ensuite rencontré le rédacteur en chef d’Okapi, qui nous a posé des questions sur l’Œil de Berthe comme la forme sous laquelle il était publié ou si des rôles étaient répartis dans la rédaction de notre journal.
Nous avons la chance de voir la couverture du tout premier numéro d’Okapi. Il existait déjà un magazine pour les plus petits (Pomme d'Api), créé en 1966. Comme les lecteurs grandissaient, Bayard a décidé de créer un magazine pour "la grande enfance" : l’adolescence. C’est comme ça qu’est né Okapi, il y a 53 ans.
Le design du magazine a beaucoup changé avant de devenir ce à quoi il ressemble aujourd’hui.
Le rédacteur en chef, Jean-Yves Dana, nous a ensuite expliqué son rôle, dans la rédaction, qui consiste à orchestrer toute l’équipe et à écrire l’édito, le petit texte au début du magazine, où le·la rédactrice en chef·fe parle de quelque chose qui se rapporte ou non au magazine.
Le bureau de la rédaction d’Okapi.
Un aperçu global du contenu d’un numéro d’Okapi.
Nous avons rencontré Nelly, qui est secrétaire de rédaction.
Les secrétaires de rédaction s'occupent du rapport texte-image, de la vérification des expressions pour s’adapter aux lecteurs : "on n'est pas un livre scolaire !" nous dit Nelly.
Ils s’occupent aussi de la titraille (chapeau, titre, accroche...). Leur but est de faciliter la lecture, de s’adapter au lectorat et valoriser le travail des rédacteurs.
Nous avons ensuite rencontré les journalistes rédactrices Juliette, Elodie et Sandrine, dont le travail consiste à chercher des idées, écrire des enquêtes ou des reportages, faire des interviews, et vérifier les informations (trouver plusieurs sources fiables).
Nous avons ensuite rencontrés Anne et Patrice qui sont graphistes, c’est-à-dire qu’ils s’occupent des logos, des repères graphiques, du travail avec les photographes et les illustrateurs, des maquettes (ils les proposent et les font), de couper du texte et bien sûr des couleurs et des différentes polices.
Sur le tableau, derrière, on voit différentes propositions et tests pour la première d’un numéro qui sorti en juin (la visite se passe le 4 avril).
Un reportage de Quelqu'un qui est gentil et May M.
Textes : Quelqu'un qui est gentil
Photos : May M., Quelqu'un qui est gentil, Mme Esquerré
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