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La censure des médias par le Kremlin

Photo du rédacteur: Actualités du collègeActualités du collège

En 2022, la Russie envahit l'Ukraine à coups de bombes, les villes sont détruites. Mais la presse russe dans tout ça ?


Les médias sont complètement muselés par Poutine. Instagram, Facebook, Youtube et Twitter sont inaccessibles, jugés propice à la "propagande européenne". Les médias indépendants sont dissouts, enterrés, étouffés, et ceux qui résistent risquent gros. On peut citer Meduza.io, un des médias russes les plus visités. Ils disent rester une source fiable, et ils délivrent la vérité sur la guerre en Ukraine. C'est un des seuls moyens pour les habitants de s'informer de manière sûre des évènements.

Et puis il y a ceux qui portent un message, comme Marina Ovsyannikova. Le 14 mars, alors que le journal télévisé le plus regardé passe, elle brandit une pancarte "NO WAR". Son acte est relayé dans le monde entier. Elle écopera une amende de 30 000, et Emmanuel Macron lui proposera l'asile.



Et la presse étrangère en Russie ?

Le 28 février, une équipe de Sky News, média britannique, est ciblée par des balles. Elle était simplement en reportage! Les cinq journalistes sont toujours vivants, mais l'un d'entre eux a été touché.

La presse étrangère se retire du marché russe : BBC News par exemple se désolidarise de ses correspondants russes, craignant les représailles.

Toutes ces informations révèlent que Poutine cherche à tout prix à exposer un seul point de vue : le sien. Alors la question qu'on peut se poser, à quoi sert la presse si une seule opinion est exprimée ?


Esther D. W.

Sources : France Info, RSF, TV5 Monde, Elle.







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